DANS LA TOURMENTE JUDICIAIRE : LE JOURNAL LIBERATION ABOIE SUR LES « BONGO »

Alors que le scandale des 3.5 millions d’euros du forum libération refait surface dans les milieux autorisés avec le départ de Laurent Joffrin, qu’une procédure judiciaire contre ce journal français serait en cours, la société des journalistes de Libération à sorti son arme fétiche: la diffamation contre le Président de la République Gabonaise

Dans un long recueil de rumeurs, et d’informations approximatives qui n’a de limite que la volonté de nuire. Maria Malagardis, une journaliste française qui se présente comme « spécialiste de l’Afrique » a fait un remarquable travail de collecte de toutes les affabulations autour de la capacité d’Ali Bongo à diriger le Gabon. Un pétard mouillé à la veille de la célébration des fêtes de l’indépendance.

Capture du media sudouest sur l’affaire Libération

Le pamphlet agrège et reprend toutes les rumeurs, les affirmations gratuites et les fantasmes auxquels sont habitués les mercenaires de la plume hexagonaux à l’encontre des présidences africaines. Rien de nouveau sous l’équateur dirait-on, surtout que l’approche de la célébration de la fête nationale est la période régulièrement choisie par les médias français pour raconter leur version de l’histoire. La même période avait déjà été choisie par France 2 pour diffuser un reportage à charge sur la famille présidentielle

Un exercice qui ne trompe personne à Libreville, où les sorties inopportunes de certains journalistes français employés par des agences de communication de la place parisienne n’ont pour but que de créer un environnement propice au chantage, et aux propositions d’accompagnement en communication.

Malheureusement pour le député Bruno Fuchs et la pseudo spécialiste de l’Afrique, Maria Malagaris, la recette qui a permis au journal libération, en toute violation des règles commerciales, et grâce à des contactes affairistes au Gabon, de bénéficier de la colossale somme de 3.5 millions d’euros, près de 3 milliards de Francs CFA pour un forum qualifié à l’époque de médiocre, par la société civile, ne marche plus.

Capture du media l’express sur l’affaire Libération

Le nom des Bongo fait vendre, c’est même un joker que les journalistes hexagonaux en mal d’existence ressortent souvent dans leur jeu. Cependant à Libreville, les règles ont changé. Fini les réponses financières aux articles injurieux. Désormais la Présidence Gabonaise assigne systématiquement tous les médias dont la volonté de nuire à la stabilité et à la souveraineté du gabon se drape sous le fallacieux prétexte de la liberté d’expression.

De quoi à peur Patrick Drahi, le propriétaire de Libération, dont les liens avec certaines personnalités aujourd’hui en disgrâce ont été formellement établies. La plainte qui sera déposée les prochains jours contre le journal libération, pour complicité de détournements de fonds publics, évasion fiscale, devrait nous en dire plus. Les responsables de Libération l’avaient reconnu, la surfacturation du Forum de Libreville avait permis de « combler le déficit du journal » qui plongeait vers la faillite. Un coup de pouce de certaines décideurs gabonais en responsabilité à la Présidence Gabonaise.

Depuis le mois de mars 2019, la justice française enquête sur des transactions douteuses entre Libération et le Gabon. Directeur opérationnel du journal en 2015, Pierre Fraidenraich avait dû présenter sa démission.

Pour d’autres journalistes français, qui ont choisi de se prononcer sous couvert de l’anonymat, cette sortie commanditée du journal Libération, qui reprend avec un manque de déontologie sidérant les rumeurs les plus absurdes sur l’exécutif Gabonais, a pour but de faire pression sur les autorités de Libreville, pour le bénéfice des bienveillants contacts de Patrick Drahi, aujourd’hui en difficulté avec la justice.

A suivre..

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