Allier industrialisation et protection de l’environnement est le nouveau défi que s’est fixé le Gabon. Dans la perspective de ce défis, le pays, en quête des nouveaux investisseurs, valorise au mieux cet axe de développement résilient.
Aux Emirats Arabes Unies (EAU), c’est le son de cloche ayant retenti lors de l’Expo Dubaï 2020 auquel le Gabon a pris part. Dans la foulée de la journée qui lui était consacrée, le pays, qui a profité de l’occasion pour exposer ses atouts, à plaider en faveur de l’assainissement des relations économiques internationales entre pays.
Le développement par le principe de la « durabilité » en référence à la production et consommation responsable, a été au cœur des échanges de la journée à laquelle a pris part le Gabon.
L’idée générale était en effet de trouver des mécanismes plus adaptés et résilients, afin d’établir des nouvelles connexions tournées vers l’avenir et le bien-être des populations.
Pour les autorités gabonaises, il s’agit d’un cloisonnement porteur à double sens : tant pour le climat que pour les économies. C’est d’ailleurs l’une des données les plus recommandées de par le monde face à l’urgence climatique.
A Dubaï, la présence d’une forte délégation gabonaise autour du ministre des Affaires Etrangères, Pacôme Moubelet Boubeya a permis à ce titre, de penser à l’ouverture de nouvelles fenêtres de partenariats.
C’est le cas avec les Emirats Arabes Unis (EAU) dont, le tête à tête entre le ministre d’Etat, Ahmed Ali Al Sayegh et Pacôme Moubelet Boubeya a permis d’entrevoir le renforcement de la coopération qui lie le Gabon et l’EAU.
Le changement climatique, l’autonomisation des femmes et les investissements ont été à l’honneur lors de cette perspective de coopération.
Michaël Moukouangui Moukala
