Organisé par l’Unesco, l’atelier visait à doter les forces de maintien de l’ordre des outils pour protéger la liberté d’expression. Alors que la corporation est depuis ces dernières années, pointée du doigt pour son manque de déontologie et ses actes de chantages médiatiques.
Pour le représentant de l’Unesco au Gabon, il s’agissait par ailleurs de préparer les forces de l’ordre à collaborer avec les journalistes pour une meilleure sécurisation des acteurs des médias.
Une volonté affichée par le commandant de la police et de la gendarmerie qui souhaite inculquer à leurs hommes, la nécessité de protéger les journalistes pourvu qu’ils soient identifiables, par le port de signes distinctifs.
Hermine Otounga, directrice de la Communication a rappelé que la sécurisation des journalistes en période électorale est un engagement des plus hautes autorités de la République.
