Cette ressortissante gabonaise qui fait les beaux jours des réseaux sociaux s’est retrouvée face à ses démons dans un centre commercial de France. En effet, elle avait participé au saccage de l’ambassade du Cameroun à Paris accompagnée d’autres membres de la diaspora et une ressortissante camerounaise a décidé de lui faire payer.
Elle s’était illustrée dernièrement en profanant la tombe d’Edouard Valentin, père de la Première Dame Sylvia Bongo Ondimba, quelques minutes après l’enterrement de ce dernier. Celle qui retransmet ses nombreux délits en direct sur Facebook pour s’attirer les bonnes grâces de ces commanditaires réfléchira peut-être la prochaine fois avant de recommencer.
En effet dans une vidéo apparue hier sur les réseaux sociaux, on retrouve la « résistante » apeurée face à une ressortissante camerounaise qui a décidé de lui faire payer ses actes en utilisant les mêmes méthodes qu’elle. Insultes et intimidations ne sont pas réservées qu’à une frange de personnes et la responsable a semblé vouloir le démontrer à la Générale.
Elle dénoncera vivement l’acte perpétrer par cette mère de famille gabonaise au sein de l’ambassade du Cameroun et lui indiquera qu’elle fera l’objet de représailles si jamais elle recommençait.
Un adage au Gabon dit « Chacun son tour chez le coiffeur » et le retour de bâton aura été violent pour la « Général Barat » qui effrayée par les mêmes méthodes qu’elle emploie, prendra la fuite et ira se réfugier auprès de policiers.
Après l’agression de l’ancien Premier Ministre Ona Ondo par des ressortissants de la diaspora gabonaise, il devient plus qu’urgent que les autorités se saisissent de ce genre de cas pour que les différents auteurs soient traduits devant la justice et que ces actes qui détériorent l’image du Gabon puissent enfin cesser avant d’en arriver, un jour, à une fin tragique.
