En visite de terrain le 14 mai dernier, pour vérifier l’état d’avancement des travaux de réhabilitation des voiries urbaines de Libreville, le numéro un gabonais bien qu’ayant été salué par les populations n’a pas fait que des contents. Les acteurs politiques de l’opposition, et principalement ceux de l’Union national (UN) , dirigé par Paulette Missambo cachent mal leur malaise après la communion du chef de l’exécutif avec les populations gabonaises.
Les anciens hiérarques de la République gabonaise, voient d’un mauvais oeil la visite décomplexée d’Ali Bongo Ondimba dans plusieurs quartiers de Libreville. Jean Gaspard Ntoutoume Ayi, vice-président et porte-parole de l’UN soutient que » S’il est vrai que la Garde Républicaine était présente tout au long de son parcours pour assurer sa sécurité, la police nationale qui est seule compétente pour assurer l’ordre public était totalement absente. Ni le Gouvernement, ni la Mairie de Libreville n’étaient présents comme l’exigerait le protocole républicain. »
Un commentaire qui vient montrer la méconnaissance de l’homme politique et par ricochet du parti politique auquel il appartient de la définition du mot « inopiné » pourtant élément central de la balade Librevilloise du chef de l’État.
Habitué aux mises en scènes, les acteurs politique de l’opposition aurait souhaité que le Protocole présidentiel monte une mascarade pour tromper le chef de l’État, c’était sans compter sur la diligence des entreprises engagée pour la réalisation des projets prioritaires mais aussi l’abnégation du gouvernement pour mener à bien les chantiers du PAT.
À l’approche de 2023 et n’ayant toujours pas présenté de projet de société, L’Union national à de nouveau sorti le dossier vide de vacance de pouvoir. Il faut croire que les résultats du PAT mettent à mal une opposition spécialisée dans la critique et qui ne fait jamais de proposition
