Propagation de fake news: la Lettre du Continent fait son mea culpa

Dans la dernière édition du média confidentiel, ses auteurs avouent avoir affirmé des informations erronées.

Publication du groupe média « Africa intelligence », la lettre du continent se veut le média confidentiel autour de l’actualité des palais présidentiels africains.


Basé en France, ce bi-mensuel s’est attiré à plusieurs reprises les foudres de ses cibles par la propagation de « fake news » et autres informations non-vérifiées. Cela a été notamment le cas lorsqu’il annonçait la libération par anticipation de Magloire Ngambia, incarcéré pour des faits de détournements et de blanchiment d’argent ou encore la dissolution de la GOC qui avait amené à un démenti du représentant du FMI au Gabon.


Faits largement critiqués par d’autres médias dont vos serviteurs et qui peuvent apparaître comme une volonté de déstabiliser le pays. De plus, les affinités connues entre les éditeurs et certains acteurs politiques nationaux laissent à penser que la Lettre du Continent se mue peu à peu en moyen de pression pour ces derniers.


Malgré le fait que cette nouvelle erreur affiche encore certains manquements affichés clairement par ce media, la publication de ce mea culpa apparaît comme un début de redemption et une volonté de rehausser son image ternie.

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