L’annonce il y a quelques jours de l’ouverture d’un bureau de « ONU FEMMES », l’Entité des Nations unies pour l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes, est une véritable consécration pour le leadership de la Première Dame Sylvia Bongo Ondimba dont l’action au sein de sa Fondation (Fondation SBO) a tôt fait de mettre le doigt sur les problématiques du genre en y apportant des solutions, notamment, grâce à de nombreux plaidoyers auprès des autorités gabonaises.
Lancé en décembre 2010 par la FSBO, le micro-credit Akasssi marquait pour Sylvia Bongo Ondimba le début d’un engagement de 11 ans au service de l’autonomisation de la femme gabonaise, un engagement qui a été marqué au fil des années par l’énorme contribution des travaux de la Fondation SBO au bien commun.
Depuis le lancement du micro-crédit Akassi, la Fondation SBO et sa Présidente ont toujours fait figure de cheffes de file du leadership gabonais en matière de promotion de l’égalité homme-femme.
C’est d’ailleurs sous l’impulsion de la Première Dame Sylvia Bongo Ondimba et des autorités gabonaises que l’Assemblée générale des Nations Unies a proclamé le 23 juin Journée internationale des veuves, à travers l’adoption de sa résolution A/RES/65/189 du 21 décembre 2010.
Au plan local, en 2015, grâce au plaidoyer de la Fondation SBO, les autorités gabonaises ont promulgué la loi sur les quotas de représentativité des femmes dans les organes de prise de décisions, au même moment, la décennie de la femme gabonaise était institutionnalisée, et un rapport remis au Président.
Pour renforcer et saluer l’action des organisations de la société civile, la Fondation SBO organisait en 2019 la première édition du Prix Agathe Okoumba D’Okwatsegue, ce prix du nom d’une des premières juristes gabonaises récompense chaque année l’engagement d’une organisation de la société civile pour le renforcement de l’autonomie des femmes.
