« Les belles choses ne durent pas » Ce bel adage illustre parfaitement bien la belle prestation des panthères à cette 33ème édition de la Coupe d’Afrique des Nations, sorties en 8ème de finale de la compétition par un Burkina Faso bien aidé par l’arbitrage.
Le monde du sport crie au scandale suite à la médiocre performance de l’arbitre marocain Referee Redouane Jiyed. Tout porte à croire que ce dernier était en mission pour faire sortir le Gabon de cette CAN. Distributeur automatique de carton (16 au total dont un rouge et 15 jaunes) même Anthony Nfa Mezui pourtant sur le banc n’y a pas échappé, il aura le long de ce match multiplié des bourdes. D’abord sur un penalty très sévère à l’encontre des panthères en début de match, puis sur un refus de consulter la VAR pour une faute en faveur du Gabon dans la surface adversaire. Il aura au cours de cette rencontre mis à rude épreuve le moral des gabonais mené au score tout le match.
C’était sans compter sur la détermination de Bruno Ecuele Manga qui malgré le poids de l’infériorité numérique est allé chercher la balle de l’égalisation sur une tête dans le dos de la Défense après un corner bien exécuté.
En toute fin du match, aidé de son arbitre assistant, Redouane Jiyed siffle un Hors jeu imaginaire de Aaron Boupendza lancé dans l’ultime minute du match pour son dernier vis à vis face au gardien Burkinabé. Si une occasion de but n’est pas un but, à cet exercice le buteur gabonais puissant et rapide avait toutes les chances de donner la qualification à son équipe dans le temps réglementaire.
L’arbitre a donné l’impression d’avoir du mal à contrôler ses nerfs, comme lors de l’action du penalty, durant laquelle il apostrophe le gardien des Panthères, Jean-Noël Amonome, en lui demandant avec véhémence de garder ses pieds sur la ligne : « Sur la ligne ! Sur la ligne ! Pas derrière, pas devant, vas-y maintenant, je te parle, sur la ligne ! Sur la ligne ! Sur la ligne, maintenant ! »
