LAURENCE NDONG PRIS EN FLAGRANT DÉLIT DE FAKE-NEWS PAR AMNESTY FRANCE

L’activiste gabono-camerounaise Laurence Ndong a eu du mal à se démêler d’Amnesty france sur Twitter. Laurence Ndong est le fer de lance de la campagne anti autorités lancé sur Twitter, au sujet de la supposée l’ arrestation d’un individu connu sous le pseudonyme de « Peter Brady ».

Dans une déclaration, Laurence Ndong affirmait que le militant David Pandjo Ngoma alias Peter Brady Akewa aurait été torturé depuis son interpellation le week-end dernier à Port-Gentil.

L’ancien membre du parti au pouvoir n’a visiblement pas apprécié que la coordinatrice de l’association des droits de l’homme, Delphine Lecoutre, lui exige de donner les sources de ces accusations envers les autorités de Libreville.

Mieux encore, la représentante d’Amnesty International a apporté un démenti sanglant aux propos de madame Ndong, dont la vérification des informations ne semble pas être le fort.

Une séquence assumée par les responsables d’amnesty qui se refusent d’être les « porte voix des fakes-news » et le relais d’un « Gabon bashing » permanent.

Comme l’a rappelé la coordinatrice d’amnesty au Gabon: « l’affirmation d’un tiers dans un post ne constitue pas une preuve. Je réaffirme que @PeterBrady241 n’a pas subi de tortures. »

Un échange pour le moins houleux, met à mal la stratégie d’une partie des activistes habitués à faire reprendre par les médias et associations de l’hexagone, les plus sombres rumeurs, pour peu qu’elles puissent entacher la réputation des autorités de Libreville.

Amnesty International, après avoir été abusée dans des conditions similaires, semblent désormais privilégier la rigueur déontologique au Buzz des réseaux sociaux.

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