L’ancienne pigiste de l’édition africaine du journal « Le Monde » Diane Audrey Ngako est surtout connue sur les réseaux sociaux pour la création de « visiter l’Afrique » une plateforme web qui avait la prétention de montrer une Afrique qu’on ne voit jamais, mais qui s’est avérée être un blog comme un autre, malgré les énormes soutiens financiers de nombreux de privés et institutionnels tombés sous le charme du narratif de cette jeune Repat.
Pourtant, depuis quelques jours, les conversations autour de cette entrepreneure qui aligne fièrement ses distinctions sur son profil Twitter ne sont pas glamour. En effet, cette dernière est prise en grippe depuis la fin de la fin de semaine dernière par Maureen Ayité, la franco-beninoise, créatrice de la célèbre marque Nanawax. La jeune femme qui enchaîne les succès commerciaux reproche à son ancienne camarade de tarder à lui rembourser une dette de 5 000 euros que la Camerounaise aurait contractée il y a quelques mois.
Chez les proches de la Camerounaise qui joue la montre en gardant le silence en période de crise, on affirme, capture d’écran à l’appui qu’il s’agissait d’un cadeau d’anniversaire. Chose à laquelle Maureen Ayité a opposé une fin de non-recevoir, arguant que jamais dans sa vie elle n’avait offert une telle somme en guise de cadeau à qui que ce soit.
C’est à une véritable mise à mort de la réputation de Diane Audrey Ngako que Maureen Ayité se livre quotidiennement en dressant le portrait d’une camerounaise, profito-situationiste dont l’amitié intéressée ne laisse aucun doute à la lecture des anciennes conversations entre les deux personnalités.
Nul doute qu’a ce niveau Maureen Ayité à déjà fait un trait sur ses 5 000 euros, mais cette dernière semble déterminer à démontrer de toutes les manières possibles, la dangerosité et le caractère virtuel des compétences et du leadership de certaines influenceuses
