La fébrilité semble-t-elle avoir gagné le camp de L’ancien député du 4e arrondissement de la commune de Libreville ? Ce dernier multiplie les « causeries politiques » à l’intérieur du pays, un air de campagne qui selon certaines sources participe à combler le déficit de représentativité en dehors du quartier Glass dont souffre l’ancien député.
Il est vrai que n’ayant jamais mis les pieds en province lorsqu’il était au pouvoir, le road trip de ABC passe mal auprès de certaines populations d’où le peu d’engouement observé sur certaines étapes. Il faut dire pour ces populations, le difficile quotidien qu’elles vivent se situe loin des guerres fratricides que les anciens du parti au pouvoir, passés dans l’opposition livrent à leurs camarades en responsabilités.
Lors de toutes ces étapes, le discours d’Alexandre Chambrier semble se réduire au « déguerpissement » du pouvoir de Libreville, parfois dans un langage qui tranche avec les règles élémentaires de vivre ensemble et de courtoisie républicaine. Mais Nulle trace de son bilan dans deux ministères (Budget et Pétrole) encore des 10 ans passés à l’Assemblée nationale pour le compte du parti au pouvoir. Quid des initiatives ou textes de lois initiés ?
Pour certaines langues du Parti au pouvoir, « Barro fait dans le populisme, son discours est creux et ordurier. Il exprime sa frustration. Comme jean Ping avant lui. » Une analyse qui ne vole pas très haut non plus, mais qui a le « mérite » de soulever le sempiternel problème d’absence de contenus pertinents des déclarations des hommes politiques gabonais. Ces discours, une fois débarrassés des appels à peines cachés à la violence contre ceux qui ne partagent par leur opinions politique, on entend les mouches voler.,
