Vladmir Titenko, Ambassadeur de la Fédération de Russie en Centrafrique accuse la radio française d’être devenue une fabrique de Fake news en Afrique.
Très silencieux devant les accusations de viols d’enfants centrafricains à l’encontre des militaires français en 2015, les journalistes français de RFI semblent très préoccupé par la présence Russe à Bangui depuis quelques mois.
En effet, il ne passe pas un jour sans que Radio France Internationale (RFI) ne diffuse un reportage sur des supposées « exactions des mercenaires russe en Centrafrique » alors même que les autorités centrafricaines saluent des mains la présence Russe dans le pays. Une présence d’instructeurs qui a permis de stopper des rebelles aux portes de la capitale malgré la présence des forces française dans le pays.
« Mercenaires russes » le ton est donné dans la ligne éditoriale de RFI. Qualifier des Instructeurs invités par les autorités souveraines d’un pays étranger de « mercenaires » Seul RFI peut se permettre ce genre d’écart.
Le 3 mai dernier, prétendant avoir eu accès à des « nombreux documents confidentiels » et au témoignage de nombreuses victimes, RFI diffuse un reportage sur la supposée brutalité des instructeurs russes en Centrafrique. Seul bémol, aucun des témoignage n’est authentifié.
Plus loin, l’ambassadeur estime que le reportage de RFI est « le fruit d’une imagination malade » avant de fustiger l’amnésie sélective des médias français qui omettent sciemment de préciser que c’est la coopération russe et Rwandaise qui a sauvé Bangui, le 13 janvier dernier d’un véritable bain de sang.
« Nous tenons à souligner que toute la publication (reportage RFI) est fondée sur le bouche à oreille » l’Ambassadeur poursuit qu’ « Aucun des nombreux documents confidentiels » n’a pas été rendu public par RFI.
Plus loin, l’ambassadeur estime que le reportage de RFI est « le fruit d’une imagination malade » avant de fustiger l’amnésie sélective des médias français qui omettent sciemment de préciser que c’est la coopération russe et Rwandaise qui a sauvé Bangui, le 13 janvier dernier d’un véritable bain de sang. « Lorsque les malfaiteurs et les rebelles étaient sur le point d’envahir la capitale centrafricaine »