« Nos mères, femmes et filles n’ont pas à subir l’insupportable ». A l’occasion ce jour, jeudi 25 novembre 2021, de la journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes, le président de la République, Ali Bongo Ondimba réaffirme son attachement à la lutte contre cette forme de violence.
A l’exemple de la communauté internationale, le Gabon célèbre ce jour, la journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes. Le président de la République, Ali Bongo Ondimba qui, à côté de la cause climatique, place la reconnaissance du droit des femmes au cœur de sa politique sociale n’a pas manqué de sensibiliser l’opinion.
« Nos mères, femmes et filles n’ont pas à subir l’insupportable », envoie-t-il comme message à ceux qui s’illustrent encore par cette forme de barbarie dans des sociétés évoluées. Le Gabon, par la voie de son président de la République, ne peut rester insensible à cette célébration puisque le pays accorde une place de choix au traitement et à la position sociale des femmes dans son développement politique, économique et social.
A ce jour, vingt deux (22) ans séparent cette célébration de la décision de l’ONU, d’instaurer en 1999, une journée en faveur de cette cause. Si les raisons sont assimilées à l’assassinat des soeurs caribéennes, le Gabon, qui a pris le bateau de cette lutte envoie depuis quelques années, un signal fort à ses voisins en se positionnant comme un leader dans l’évolution de ce droit.
Le pays d’Ali Bongo Ondimba a su en effet transcender les obstacles de la tradition et les rigidités du Droit pour faire éclore des interdits juridiques qui encadrent les violences faites aux femmes. C’est un combat que le président de la République gabonaise tient à cœur. Chaque fois qu’il a l’occasion, il ne manque pas de le faire savoir.
Michaël Moukouangui Moukala