Au cours d’une séance de travail qu’elle présidait le 20 juillet dernier à son cabinet, la ministre de l’éducation nationale, Camélia Ntoutoume-Leclerq est revenue, en présence de plusieurs étudiants issus de 19 promotions de Grandes Ecoles, sur la question des régularisations administratives des diplômés de l’école normale supérieure (ENS), l’Institut National de la Jeunesse et des Sports (INJS) et de l’Ecole normale supérieure de l’enseignement technique (ENSET).
Alors que débutait il y’a quelque semaines les vacances scolaires, l’heure est déjà pour le ministère de l’éducation nationale à la préparation de la future rentrée des classes. D’ailleurs les dates de celle-ci sont déjà connues. Les élèves reprendront le chemin des classes dès le 5 septembre prochain. Pour pallier l’épineux problème d’insuffisance d’enseignants, la ministre de l’éducation nationale s’est entretenue avec les diplômés des grandes écoles aptes à l’emploi, dont les situations administratives ne sont toujours pas en conformités.
Il s’agit des promotions 2015-2021 de l’ENS, 2013- 2020 de l’INJS et celles de 2015-2021 de l’ENSET. Soit au total 19 promotions d’étudiants à qui Camélia Ntoutoume à précisé après avoir pris connaissance des dossiers, que le gouvernement est à pied d’œuvre pour que ces situations puissent être régularisées dans l’ensemble de façon progressive.
« Nous voyons que les choses avancent et nous restons confiants » a indiqué Fall Bombenda, porte-parole du collectif des promotions de l’ENS.
