Sollicité depuis la rupture de contrat avec le groupe français Veolia, le Conseil d’administration de la Société d’énergie et d’Eau du Gabon (SEEG) a ordonné l’audit des pôles de la société sur les périodes 2019, 2020 et 2021.
La SEEG pourrait procéder à son audit. La décision, prise par le Conseil d’administration vise à répondre aux engagements contractuels de la nouvelle convention de concession signée début janvier 2022 avec l’État gabonais pour une durée de 20 ans.
« Les rapports de ces trois missions obtenues après quelques mois de travaux, permettront, non seulement au Conseil d’administration mais aussi et surtout à nos hautes autorités d’apprécier le corps actuel de notre entreprise sur ces trois pans générateurs de gisements de progrès et d’économies. Et par voie de conséquence, d’y apporter des mesures correctives dans l’intérêt supérieur de notre société et de notre pays », a fait remarquer Égide Boundono Simangoye, président du conseil d’administration de la société.
D’après le Conseil d’administration, les résultats de cet audit permettront de mieux programmer les investissements sur les trois prochaines années. Induit par le programme de mise à niveau des équipements existant et la promotion des nouveaux investissements d’infrastructures stratégiques, ces investissements permettront à la SEEG de répondre à ses engagements contractuels.
SL