Société : Libération et Laurence Ndong, auxiliaires de la propagande russe au Gabon ?

Bien que discret, un sentiment anti-français promu par une partie de l’opposition monte à Libreville, faisant les affaires d’officines russes qui peuvent compter sur des activistes locaux et des médias français en froid avec Libreville.

La propagande de Libération au sujet de prétendus cris « d’alarme des écologistes », et les sorties synchronisées des activistes proches de l’opposition, qui soutiennent que la France doit « dégager du Gabon » en pleine One Forest Summit, ne seraient pas le fruit du hasard et font de plus en plus penser à un plan commun piloté hors des frontières du Gabon.

Si aucune tribune publiée dans Libération ne saurait remettre en cause le rôle vital des forêts du bassin du Congo, il est tout de même curieux que, pour nourrir sa haine envers les dirigeants gabonais qui leur avaient pourtant offert 3,5 millions d’euros en 2015 pour un forum bidon, la rédaction de Libération ait ouvert ses colonnes à Laurence Ndong, ancienne cadre du parti démocratique gabonais au pouvoir et chantre, aux côtés de Nathalie Yamb, d’un « remplacement de la France en Afrique », notamment par la Russie.

Une simple recherche sur le personnage aurait permis aux « experts Afrique » de Libération d’éviter de se vautrer dans un Gabon bashing de bas étage au nom d’une prétendue défense des droits humains.

Mais chez Libération, on semble habitué aux faux scoops, comme lorsqu’en janvier 2012, tirant des conclusions totalement abusives, Libération avait affirmé que les génocidaires rwandais étaient équipés de missiles français.

L’article était signé d’une certaine Maria Malagardis.
Cette « experte Afrique » qui confond le Gabon et le Mozambique, sans doute parce que « tous les Noirs se ressemblent », semble avoir carte blanche pour propager des fake news et manipuler l’information, pourvu que ce soit en Afrique.

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