Grâce à une gestion audacieuse et des réformes mises en place sous l’administration provisoire de Christophe EYI, la Caisse Nationale de Sécurité Sociale (CNSS) a réalisé des résultats impressionnants, notamment une réduction remarquable de sa masse salariale. Entre juin 2021 et mai 2022, la masse salariale s’élevait à 31 milliards FCFA, mais en seulement un an, ce chiffre a été ramené à 26 milliards FCFA, soit une baisse significative de 16% entre juin 2022 et mai 2023.
Lors d’une interview accordée au quotidien L’Union, Christophe EYI, administrateur provisoire de la CNSS, a dressé un bilan éloquent des 12 derniers mois de redressement de l’organisme de sécurité sociale. La maîtrise des charges et la stabilité financière étaient au cœur des préoccupations de l’équipe dirigée par M. EYI, et les résultats parlent d’eux-mêmes.
Ancien banquier, Christophe EYI a été nommé par le gouvernement dans le but de redresser la CNSS, qui était confrontée à des difficultés financières. Malgré le défi imposé par le court délai d’un an pour résoudre les problèmes accumulés au fil des années, M. EYI et son équipe ont réussi à obtenir des résultats concrets et tangibles. La réduction de 16% de la masse salariale témoigne de l’efficacité des mesures mises en œuvre pour redresser l’institution.
En dépit des obstacles et des tensions rencontrées en cours de route, Christophe EYI affirme que le redressement de la CNSS a été couronné de succès. Ce bilan positif permet à l’institution de regarder vers l’avenir avec optimisme et de continuer à remplir sa mission essentielle, celle d’assurer la sécurité sociale pour tous.
Grâce à la vision stratégique de Christophe EYI et à sa capacité à prendre des décisions éclairées, la CNSS retrouve ainsi sa stabilité financière et peut envisager l’avenir avec confiance. Ce redressement spectaculaire témoigne de l’importance cruciale d’une gestion efficace et d’une administration rigoureuse pour garantir le bon fonctionnement des institutions de sécurité sociale et la protection sociale de la population.
Alice ZANG
